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Activité Physique |
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Le culte du corps
Aucun sportif n'y échappe et en tant que tel je me limiterai à cette vision (oubliez la pub, la mode, etc...)
Depuis la Grèce antique nous parviennent les échos d'une époque où l'on valorisait énormément la forme physique, à raison. Comprendre le fonctionnement de son corps et les avantages d'un physique équilibré m'ont amené à un constat: on est une société de paresseux endormis par la tv. Les méfaits de la sédentarité et de la tv sont nombreux et connus (ostéoporose précoce, problèmes de dos, apathie, toc, malbouffe, ennui, etc...). Pour exemple qui marque, votre activité métabolique devant la tv est inférieure à celle que vous avez au repos (allongé sur le lit au matin par exemple). |
L'activité physique permet au moins deux choses: soigner et maintenir en forme.
Vous doutez? Je comprends, alors voilà des preuves:
Vous doutez? Je comprends, alors voilà des preuves:
- l'activité physique permet d'induire la neurogenèse et améliore vos capacités cérébrales [1-4]
- Une activité physique régulière améliore la circulation sanguine, "fortifie" le cœur, développe la confiance en soi, libère des endorphines qui sont les neurotransmetteurs de l'euphorie et du bien-être. Ces derniers sont libérés lors d'un orgasme, c'est vous dire!
Références
[1] Molteni, R. et al. (2004) Exercise reverses the harmful effects of consumption of a high-fat diet on synaptic and behavioral plasticity associated to the action of brain-derived neurotrophic factor. Neurosciences 123, 429-440 Researchgate
[2] Molteni et al. (2002) Differential effects of acute and chronic exercise on plasticity-related genes in the rat hippocampus revealed by microarray, Ejn 16(1), 1107-1116 online library
[3] Griesbach et al. (2004) Voluntary exercise following traumatic brain injury: brain-derived neurotrophic factor upregulation and recovery of function, Neurosciences 125(1), 129-139 Research gate
[4] Farmer et al. (2004) Effects of voluntary exercise on synaptic plasticity and gene expression in the dentate gyrus of adult male sprague–dawley rats in vivo, Neurosciences 124(1), 71-79 Science direct
[1] Molteni, R. et al. (2004) Exercise reverses the harmful effects of consumption of a high-fat diet on synaptic and behavioral plasticity associated to the action of brain-derived neurotrophic factor. Neurosciences 123, 429-440 Researchgate
[2] Molteni et al. (2002) Differential effects of acute and chronic exercise on plasticity-related genes in the rat hippocampus revealed by microarray, Ejn 16(1), 1107-1116 online library
[3] Griesbach et al. (2004) Voluntary exercise following traumatic brain injury: brain-derived neurotrophic factor upregulation and recovery of function, Neurosciences 125(1), 129-139 Research gate
[4] Farmer et al. (2004) Effects of voluntary exercise on synaptic plasticity and gene expression in the dentate gyrus of adult male sprague–dawley rats in vivo, Neurosciences 124(1), 71-79 Science direct